Essai: Citroën C1 (2ème génération)



En très peu de temps, le marché des citadines a connu d’innombrables renouvellements, allant des Picanto et i10 aux européennes telles les Fiat 500 et Panda et bien d’autres modèles (l’Opel Adam ou encore la Renault Twingo). Aujourd’hui, c’est au tour du triplet Toyota Aygo, Peugeot 108 et Citroën C1 de proposer leur deuxième génération, après une collaboration franco-japonaise totalement réussie, traduite par 800.000 ventes.

Fraîcheur et dynamisme sont synonymes du nouveau design proposé par ce triplet. Quant à la C1, elle se distingue par une face avant plus joviale que ses soeurs, intégrant la signature visuelle de la marque, à savoir les doubles optiques façon C4 Cactus et le logo étendu sur toute la calandre. Le coup de crayon ne s’est pas limité à l’extérieur, puisque la modernisation touche également le volant, le compteur et la planche de bord, qui se présente totalement en plastique, une matière peu désirée, mais qui est réputée pour sa longue durée de vie. On retrouve un nouveau système audio mp3, avec la possibilité de connecter son smartphone grâce à un câble jack ou prise USB.

Cette nouvelle C1 se voit désormais plus accueillante, grâce aux 3 cm gagnés en longueur. On note une franche évolution en matière de confort, grâce à des sièges à l’avant plus larges et un espace plus important à l’arrière par rapport à l’ancienne génération. De même pour le coffre, qui passe de 140 L à environ 195 L. Le confort se ressent même en roulant, grâce aux suspensions retravaillées et à la très bonne précision de conduite conservée, voire améliorée.

Une seule motorisation est disponible, le 3 cylindres de 1.0L développant 68cv. Un moteur qui remplit amplement sa tâche en ville, avec souplesse et douceur. Même avec un léger manque de couple, lors des reprises et dépassements, ce 3 cylindre offre un rendu global plus qu’honorable

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